Malumalu est là avec le RAIS! Il faut désormais faire avec !
Sauf que les erreurs du passé doivent,
dorénavant, servir des leçons à l'actuelle équipe #CENI qui attend ouvrir la porte à
l'alternance au pouvoir.
Puisque l'expérience assagit, Malumalu ne doit
nullement échapper à cela.
D'ailleurs, Confucius, ce maître philosophe de
l'antiquité chinoise ne disait-il pas que la grandeur d'un homme, ce n'est pas
le fait de n'avoir pas tombé dans son parcours.
Mais plutôt, le fait de savoir se relever à chaque
fois qu'il tombe… Loin de faire un culte à qui que ce soit, ce prêtre
catholique dans son caractère introverti, aurait certainement eu le temps
d'intérioriser les reproches. Mêmes les plus acerbes.
Et, puisqu'il draine derrière lui une expérience en
matière électorale, quoi de plus mieux que de l'exhorter à faire du bon
travail.
Car, du haut de sa personnalité religieuse ou
chrétienne, il portera sur ses épaules l'histoire morose ou glorieuse de la
République démocratique du Congo selon qu'il choisira de l'écrire. La bal est
dans camp MALUMALU si on interprete bien les propos de Kabangi: « Les
élections sont dans notre pays devenues incontournables pour l’accès aux plus
hautes charges de l’Etat. Nous ne pouvons donc pas en faire l’économie quelles
que soient nos difficultés. Toutes les élections prévues par les lois de la
République seront organisées conformément aux dispositions qui seront prises
par l’institution compétente pour ce faire, à savoir la Ceni [commission
électorale]», a
déclaré Kabangi lors de son discours sur l’état de la nation prononcé lundi 15
décembre devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès.
Un
discours nationaliste Flatteur Car il ne serait valable que s'il avait
le soutient de la population, ce qui n'est pas le cas à l’évidence...
Mais là haut, y a t-il encore vraiment un
Chef d’Etat qui puisse être entendu, cru, suivi ?
Peut-on encore le supporter dans un pays
qui a perdu confiance en son avenir ; dans un pays qui a pris conscience de ses
blocages et réclame de l’action.
Je demande à cet homme de bien mesurer
l’état moral et politique de la situation en RDC.
Libre au Président de choisir une porte de
sortie, mais en toute hypothèse, il ne peut plus continuer son petit bonhomme
de chemin comme si de rien n’était, comme si la désillusion du peuple Congolais
n’était qu’anecdotique.
Lorsque
Tshisekedi a Sun city avait demande au pouvoir de cette epoque qu'il fallait
organiser le recencement de la population avant l'electorat, n'est-ce pas que
le PPRD et ses allies, et derriere ces derniers, Kabila, avaient refuse?
Et aujourd'hui
apres 2006 et 2011 Le PPRD et Kabila veulent organiser les recencements juste
la veille des elections? Ces recencements doivent etre organiser seulement
apres les elections 2016, pas avant.
Sinon, c'est
insulter le peuple congolais tout entier. Et meme l'ONIP doit commencer a
fonctionner apres les elections a partir des bureaux du quartier dans les
grandes villes et dans les groupements pour l'interieur du pays. Car plaider pour organiser un recensement de
la population, ou même créer un office pour cette cause, est une preuve
irréfutable de l'incapacité des services de l'état-civil d'un pays de gérer ses
habitants ou d'en déterminer le nombre et les lieux d'habitation exacts.
Il n'est pas facile de dribbler tout un peuple.
L'argent que l'on voudrait investir dans
l'ONIP devra être investi pour équiper l'administration du territoire du
matériel adéquat pour gérer les services de l'état civil en République
Démocratique du Congo!
Il n'est pas
facile de dribbler tout un peuple. Par rapport aux éléction de 2016 KABANGI n'a
rien dit qui engage sa responsabilité pour ne pas être obligé de se justifier
un jour?
Il a rejeté toute les responsabilités sur la CENI, l'ONIP, le parlement et le
gouvernement.
Il se place dans la position de simple spectateur comme s’il n’avait aucune
responsabilité.
La trouvaille
est là : récensement national pour le glissement du calendrier électoral.
C'était un secret de polichinelle. Ce récensement national devait-il attendre
2015? Se terminera-t-il avant les échéances électorales ????
Comme
d'habitude, là nous venons d'entendre un autre de ces mulitiples discours CREUX. En tout cas Kabangi
semble être décallé de ce que les Congolais
attendent de lui: "Son depart en paix en 2016 par les élections pour lesquelles, seul lui
n'a pas le droit de participer en
tant que candidat à la présidence".
Les hommes
doivent passer mais les institutions continuent ainsi que le progrès et le
developement nous dit on.
Il nous reste la meilleurs étape à franchir pour
murir notre jeune démocratie: L'Alternance du pouvoir.
Les bonnes actions demeurent toujours inoublié, le Président Loula a presque
opéré des miracles au Bresil mais dans le temps imparti, il a su laisser à une
autre le soin de continuer cette Grande vision qui a placé le Brésil dans le
concert des Grandes Nations puissantes.
Respect de la
souveraineté
En 2006
j'attendais qu'il invoquat "la souveraineté nationale" quand Louis
Michel nous influençait à voter pour lui "le moindre mal" devant
Bemba. La communauté internationale est importante quand elle soutient le
pouvoir , elle est mauvaise quand elle demande celui ci à respecter la
constitution.
Aujourdh’ui 2014 Joseph Kabangi évoque les réactions suscitées à
l’intérieur comme à l’extérieur du pays par le débat politique interne en RDC.
Il a reconnu aux acteurs politiques congolais le droit de
susciter ou d’entretenir le débat au sujet du processus électoral.
« On peut en revanche s’interroger sur le bien-fondé de
l’auto-invitation dans ce débat des personnalités non congolaises aussi bien
intentionnées soient-elles », a-t-il cependant ajouté.
Kabangi s’est également interrogé sur « la
tendance fort remarquée de certains compatriotes d’en appeler systématiquement
à l’étranger pour régler les différends entre Congolais, comme si dans ce pays,
nous n’avions pas collectivement assez de sagesse pour le faire
nous-mêmes ».
« Je voudrai dire aux premiers et aux seconds que le peuple
congolais n’est pas n’importe quel peuple. Nous sommes les descendants de Kimpa
Vita, de Simon Kimbangu, de Joseph Kasa-Vubu, d’Antoine Gizenga, de Patrice
Lumumba et de Laurent Désiré Kabila. Nous sommes ce peuple tellement jaloux de
son indépendance conquise de haute lutte et de liberté démocratique obtenue
parfois au prix de sang », a lancé Kabangi, avant de faire cette mise en garde aux
partenaires de la RDC : « De nos partenaires et pourvu que cela
soit fait dans le respect de notre souveraineté, nous sommes toujours prêts à
recevoir des avis, conseils et suggestions mais jamais des injonctions. »
La communauté internationale réclame depuis plusieurs mois aux autorités
congolaises la publication d’un calendrier électoral complet jusqu’à la
prochaine présidentielle de façon à pouvoir soutenir le processus électoral, et
demande que la Constitution du pays soit respectée. Les États-Unis, ont dit eux
très clairement qu’ils voulaient voir Kabangi
se retirer du pouvoir à la fin de son mandat, en décembre 2016.
La politique clientéliste et ethno régionaliste de Kabila ne cesse de
laisser jour après jour des masses congolaises sur le bord de la route. Etant
conscient de cet échec, le gourou de la ferme de Kingakati où coule le
champagne et le lait pour les honorables dignitaires du régime sait que pour se
maintenir au pouvoir, il faut éviter de croiser le fer électoral avec le
souverain primaire. Tous les stratagèmes sont désormais bons pour contourner le
peuple via une sorte de centralisme démocratique à la soviétique. Une
démocratie où les décisions prises à la ferme de Kingakati doivent s’appliquer
via une parodie d’élections ou de référendum pour en donner un caractère
démocratique.
Les acteurs de
la révolution : Union sacrée entre Opposition – Société civile –
Jeunesse et Armée
Le pouvoir de Kabila, qui
n’a que faire des Congolais, est également fondé sur l’exploitation illicite
des minerais, du pétrole et sur des business sales en ouvrant les frontières
congolaises grandement à qui veut venir s’y servir et piller tant qu’il contribue
à renforcer son régime répressif et non à nourrir le peuple Congolais. Le
Congolais qui n’est pas heureux en RDC n’a qu’à s’en aller. Il y aura bien des
rwandais et autres qui viendront manger grassement dans leur assiette. Le
délestage alimentaire est d’ailleurs une réalité quotidienne au Congo où l’on
mange en alternance un jour sur deux dans plusieurs ménages.
Alors Mes très Chers Compatriote, sans
trembler, je vous demande une mobilisation sans faille, je vous demande de
rassembler vos forces, je vous demande d’être à l’avant garde pour dire aux
Congolais que notre pays doit se dépasser et qu’il peut se relever, et dire
surtout que la RDC Ne jure que par l'alternance et la victoire de la Démocratie
en 2016 et a besoin d’un plan cohérant d'aménagement du territoire. Vous serez
ainsi au service d’un idéal qui dépasse chacun d’entre nous.
Cet ideal s’appelle tout simplement
l'Etat Congolais.