samedi 16 mai 2015

Le dialogue que kabila entend organiser avec l’opposition, la société civile et l’église catholique: encore une autre operation de diversion et de distraction pour enfumer l’opinion nationale et internationale?

Le dialogue que kabila entend organiser avec l’opposition, la société civile et l’église catholique: encore une autre operation de diversion et de distraction pour enfumer l’opinion nationale et internationale?
Dans le contexte actuel de la région des grands lacs, la crise qui secoue le Burundi est un puzzle dont les pièces du conflit sont disséminées dans une stratégie de ruse, qui mêle apparence et réalité pour fixer la force ennemie sur un leurre et pour concentrer ses forces sur son lieu de dispersion. Ainsi donc, derrière la crise burundaise se dessinent de grandes manœuvres politiques qui annoncent une redistribution des cartes suite aux échéances électorales à venir qui devraient se dérouler au Burundi (2015), en rdcongo (2016) et au Rwanda (2017). 
Dans l’un de mes articles sur mon blogg, j’avais prédis que tshisekedi va voter pour un dialogue social avec kabila.kabila et tsisekedi pour un dialogue?

Un leader qui a commis plusieurs erreurs dans sa vie politique doit connaître ses faiblesses, s’il ne les connaît pas, cela ne signifierait rien d’autre qu’une machination consciente.


Puisqu’il est question de dialoguer, ils aboutiront certainement à la conclusion d’un nouveau cadre constitutionnel que revendiquera l’imposture en contre partie de la promesse et de la garantie du respect du calendrier électoral et du recensement administratif avec en sus le mea culpa susurré sur les bouts des lèvres pour faire plaisir à monsieur Etienne tshisekedi. Ce qui va permettre la négociation d’une nouvelle constitution ou la révision afin de redonner une nouvelle virginité politique à joseph kabila et le report des élections pour 2021.

Entretemps, le peuple qui tient au changement sera de nouveau embobiné dans la farine et va encore croire au combat interminable de Mr. étienne tshisekedi.

en 2021, les élections auront lieu avec tous les caciques du système de l’imposture reconvertis « opposants »; vital kamhere, moïse katumbi, jean claude muyambo etc…

Ils tricheront encore et dans cette mêlée, mr. tshisekedi servira une fois de plus de marchepied. Comme d’habitude, il sera innocenté d’avoir commis juste une erreur politique ou d’avoir été mal conseillé. Ce qui serait évidemment une illusion démocratique vendue au pauvre peuple congolais. 

 

La preparation du terrain de jeu via le mascarade qui se fait au burundi. Congolais zala ikenge !!!

Un peuple qui ne sait pas bien lire la face sombre de son histoire risque de la revivre ?


 

Dans sa réflexion, germain nzinga makitu explique la stratégie tutsie à la lumière du 6em stratagème chinois.

 il s’agit ici d’une ruse militaire chinoise qui consiste à faire beaucoup de bruit et clameurs à l’est en poussant ainsi l’adversaire à amasser ses forces à l’est pour la confrontation pendant que l’objectif caché c’est d’attaquer par surprise à l’ouest.


Pour l’appliquer sur la situation du grands lacs, rappelez-vous comment deux présidents burundais hutus, épris de démocratie, melchior ndadaye et cyprien ntaryamira, ont été lâchement assassinés par les forces du statu quo, respectivement le 21 octobre 1993 et le 6 avril 1994. 

Mais en réalité cette crise burundaise visait à préparer l’embrasement général du rwanda voisin en 1994 et cet embrasement qui baliserait à son tour la voie à l’objectif principal qu’était l’invasion du zaïre et l’exploitation de ses richesses du sol et du sous-sol.

L’histoire risque de se répéter vu que 2015 est l’année électorale pour le burundi, 2016 pour les etats-unis et la rdc, 2017  pour la france et le rwanda. Tout est bien calculé pour porter le regard du peuple ailleurs.

Ainsi donc pour répéter l’histoire, le décor est en train d’être planté. burundi comme par hasard ouvre le jeu et la rdc organise un dialogue. que font le rwanda et l’ouganda ???

paul kagame pour semer la confusion dans l’esprit des con-golais moins enclins d’évaluer à juste compte la menace réelle et plus portés de commettre l’erreur impardonnable de ne pas se préparer à une attaque surprise. 


Le stratège rwandais divulgue de fausses informations sur le théâtre des opérations, créant des fausses impressions qui camouflent la véritable direction qu’il entend donner à l’attaque. il désoriente ainsi l’adversaire, sème le chaos dans ses esprits. 
Suite aux agitations qui succèdent depuis des semaines au burundi voisin, agitations auxquelles le même kagame n’est pas étranger, il sied de ne pas se laisser leurrer et de ne point concentrer ses défenses sur le flanc est. Cette clameur faite à l’est ne dit pas que ce soit bien là le lieu de sa prochaine attaque, Indique 
germain nzinga minaku.

Mais kagame est il encore fort dans la région des grands lacs ? la reponse nous l’a trouvont chez boniface musavuli qui indique, que, ‘’si le coup d’etat avait réussi contre nkurunziza, un hutu (mais de mère tutsie), nous aurions eu un alignement des régimes tutsi (kampala – museveni, kigali – kagame et bujumbura, - le général niyombare, un hutu, n’était qu’un homme de paille à la solde des tireurs de ficelles à kigali).’’

J’ai aussi l’impression de voir derrière l’échec de ce coup d’etat l’implication du président tanzanien jakaya kikwete.

Dans cette optique, musavuli boniface est tenté de croire que kagame, contrairement aux apparences, est en train de perdre son aura sur le plan international et que kikwete est plus que jamais l'homme fort de la région.


 Après la visite de barack obama en tanzanie, en juillet 2013 (et non au rwanda), il me semble que les américains ont amorcé un processus de redéfinition des alliances dans la région des grands lacs 

Cette redéfinition devrait avoir pour effet d’amoindrir l’influence des hommes comme kagame (« abîmé » par les guerres à répétition au congo) et museveni (trop vieux, 32 ans de règne). Mais ce « délestage » devrait être progressif et les deux présidents devront, comme mobutu à son époque, continuer de croire qu’ils sont toujours dans les bonnes grâces des américains.


Eu égard de tout ce qui précède, que cache le dialogue de kabila avec l’élite congolaise ???


Je peux affirmer sans craindre d’être contredit que le dialogue auquel kabila invite la classe politique congolaise est encore une autre opération de diversion et de distraction pour enfumer l’opinion nationale et internationale.

Devant la résistance du peuple congolais pour ne pas lui permettre de toucher la constitution, il se sert de la stratégie talk and fight (dialoguer et faire la guerre) chère à ses mentors kagame et museveni.

 Dès qu’il se sent acculé, il rencontre les adversaires pour les caresser dans le sens du poil de la bette, ils prennent des résolutions du dialogue et n’en respecte aucune. 

Au contraire il a eu à comprendre les intentions cachées de ses ennemis et a eu le temps de refaire ses forces pour dominer et avancer victorieux.

Pour ce faire, l’arme de désinformation a déjà commencé à fonctionner à plein régime. L’attention de l’opinion internationale est orientée à dessein sur la crise du burundi où les violences iront crescendo les jours à venir, touchant le rwanda voisin, mais avec l’option à long terme d’attaquer par surprise le grand voisin de l’ouest, la rdc.  

 

Nous sommes en passe d’assister à l’application pure et simple du sixième stratagème chinois qui demande de faire beaucoup de bruit à l’est (burundi puis rwanda) pour attaquer finalement à l’ouest (rdcongo).  Le mentor rwandais sait clairement que cette phase n’est que la première qui prendra par surprise les congolais habitués à la lecture événementielle de ce qui advient à leur pays. 

Kagame a déjà identifié son véritable adversaire. Non point joseph kabila qui est son fidèle allié ni les institutions républicaines congolaises qui sont toutes infiltrées et à la solde de l’occupant rwandais. Le véritable adversaire contre lequel les rwandais préparent cette surprise, c’est bien la frange intellectuelle congolaise qui refuse de se soumettre puis les classes combattantes du peuple congolais qui, comme elles l’ont démontré à la mi-janvier dernier, se rendent prêtes au sacrifice suprême pour arracher leur souveraineté en 2016, année qui marquera la fin du deuxième et dernier mandat constitutionnel du soldat kabila et l’ouverture probable d’une nouvelle ère démocratique.


Et comme par magie kabila pense organiser un dialogue. Que cache ce dialogue ?


Ce dialogue a pour objectif principal de débaucher tous ces leaders de l’élite congolaise et aller librement vers la fraude de 2016 sans plus un obstacle majeur à son projet.

Ce dialogue a pour objectif principal de débaucher tous ces leaders de l’élite congolaise et aller librement vers la fraude de 2016 sans plus un obstacle majeur à son projet.

Kabila a compris que son schéma militaire ne viendra pas à bout de forces du changement s’il n’affaiblit pas au préalable les leaders d’opinion à qui obéit encore le peuple congolais.

Pendant que les congolais se préparent en toute naïveté à aller au dialogue avec kabila et que ce dernier s’apprête à nommer une pointure de l’opposition au poste de premier ministre, il se sert de la diversion pour caresser l’opinion congolaise dans le sens du poil et lui faire croire que tout 

évolue pour le mieux en rdc pendant que la terre brule au burundi et que cet incendie du voisin est précurseur de celui de la maison congo.

 

En réalité, toute activité politique au congo jusqu’au dernier rendez-vous pprd à kingataki ce mercredi 13 mai 2015 n’est que du leurre et de mascarade politiques.

Kagame et Kabila sont en train d’appliquer ce principe de guerre selon lequel : celui qui sait quand et où s’engager fait en sorte que l’autre ignore où et quand se défendre.


En provoquant des désordres et violences politiques avec des milliers de morts au burundi, le stratège paul kagame sait qu’il va tourner le regard du monde entier vers cette partie de la sous-région où gronderont les canons et les hurlements de victimes sous les machettes et les houes, levant l’épouvantail du génocide des tutsis par des hutus. Mettant alors à profit le sixième stratagème qui consiste à faire beaucoup de bruit à l’est, il sait que son objectif principal et final, sera d’attaquer la démocratie naissante à en rdcongo.

Pendant que la violence aura fait suffisamment de bruit au burundi, lui se mettra déjà en toute discrétion à lever à l’ouest de nouvelles rebellions et mettra en alerte maximale les forces d’attaque déjà infiltrées sur le territoire congolais. Ceci fait, il passera à la seconde phase en exportant ce conflit dans son propre pays et ensuite au congo-kinshasa.

Les troubles au rwanda et au congo rendront la situation socio-politique invivable, mettant les deux pays au bord du chaos et appelant du coup le necessaire etat d’urgence impliquant de laisser ces deux presidents a leur poste presidentiel pour  eviter le basculement total.

La ruse et la surprise ont toujours ete les  meilleures armes de kagame.
lorsque l’opinion congolaise l’attendra d’intervenir a l’est ou sont signalees de nouvelles incursions des forces militaires rwandaises et cette nouvelle milice raia mutomboki dans la cite de punia dans la province de maniema, cette clameur orientale lui servira de ruse pour frapper a l’ouest, probablement par moanda ou ses officiers deja presents etudient minutieusement le terrain avant d’accueillir les troupes que des vols cargo peuvent larguer tres facilement et de la organiser des colonnes pour monter plus facilement sur kinshasa, le siege des institutions republicaines.

la flexibilite d’action et l’agilite des manœuvres constituent le point fort de kagame et lui permettent de « ne pas se laisser imposer le jeu et de s’emparer de l’initiative afin de dicter soi-meme des regles favorables.» 


Voila a quoi nous devons veiller les jours qui viennent : ne pas nous laisser distraire dans cette guerre du burundi faite de desinformation et de ruse.
Prenons en grande consideration l’avis d’andre beaufre : « le vainqueur d’un conflit est celui qui sait maitriser l’interaction des volontes des protagonistes, c’est-a-dire son jeu, celui de son adversaire et la confrontation de deux qui s’adaptent au changement de circonstances. C’est à partir de cette dynamique evolutive qu’il conviendrait de concevoir et de conduire toute strategie… dans ce face-a-face tactique, l’action de l’un lie celle de l’autre, mais le stratege qui le comprend effectue un premier pas vers la victoire. »
D’ou l’urgence de la clairvoyance pour ne pas nous laisser dicter les regles d’un jeu politique qui nous oterait l’initiative.  il nous faut voir au-dela des apparences et tracer le veritable itineraire que suit l’action politique et militaire de kabila-kagame-kaguta museveni et la situation du  burundi qui est en train de revigorer joseph kabila dans la poursuite de son funeste projet de marcher contre l’article 220 de la constitution congolaise et de prolonger ad vitam son mandat deja chaotique sur le plan politique, militaire et social. Par ailleurs, la reaction mitigee et hypocrite des puissances et des instances internationales qui n’ont pas defendu les valeurs democratiques mais plutot leurs interets economiques et geostrategiques confortera desormais joseph kabila qui a compris qu’il peut vendre son pays pour conserver son trone. la reunion qu’il a convoquee a kingataki ce mercredi 13/05/2015 et le dialogue qu’il entend organiser avec l’opposition, la societe civile et l’eglise catholique (selon ses propres termes) vont dans le sens de commencer sa marche vers les echeances electorales de 2016 par la neutralisation des forces qui echappent a son controle.
il  faut donc chercher a creer, en dehors de ce cadre mort-ne, les voies et moyens  de realiser les conditions de la restauration d’une paix durable a l’est de la rdc. La politique exterieure d’un pays etant le reflet et le prolongement de sa politique interieure, c’est aux conditions interieures qu’il faut accorder priorite dans la solution du probleme de la paix a l’est de la rdc.  Il s’agit ni plus ni moins que de refonder l’etat, de restaurer ses fondamentaux. 
et cela ne peut se faire par un coup de baguette magique : il faut une vision globale de la gouvernance dont la mise en œuvre doit s’inscrire dans la duree. Car avant d’etre une organisation et une structure, la democratie est une culture et une mentalite qui s’acquierent par l’education civique et le developpement de la conscience citoyenne. La crise de leadership en rdc s’enracine dans ce deficit de culture politique et de mentalite democratique, qui s’acquierent par l’education civique.


vendredi 2 janvier 2015

Devons-nous croire en Dieu?


DIEU EXISTE?
Je ne sais pas.

DIEU N'EXISTE PAS?

Je ne sais pas non plus.
Mais j'ai une garanti que si Dieu existe, je vais gagner le paradis.
S'il n'existe pas! Je ne Perds rien du tout.
Je serai comme tout le monde.
Donc accepter qu'il existe ne me coute rien du tout. Au contraire ça me garanti la vie après la mort!
Nier son existence eh bien ce n’est pas trop mal…Car on a plus cette garanti de la vie après la Mort au cas où Il existait Un Dieu.
DOIS-JE CROIRE AU DIEU DE BLANCS ?
Non ou alors Plus Jamais.

Dans le monde entier, la frontière entre la personne cultivée et la moins cultivée se reconnait avec la croyance ou la non croyance en Dieu Imposé par les Blancs.
 Mais pourquoi en Afrique, ce sont les super diplômés qui croient qu'il existe un dieu blanc avec son fils Jésus : un autre blanc venu les sauver ?
Pour moi, cela reste un mystère.
Est-ce que parce que ce sont les seuls intellectuels au monde à ne pas aimer la lecture ? Est-ce les séquelles de 4 siècles d'imposition du dieu blanc dans l'imaginaire collectif des esclaves noirs ?
Des questions qui doivent trouver des réponses.
Plan du Dieu des Blancs
 Devons-nous croire en Dieu? Non, pour la plupart des professeurs de philosophie des grandes universités. Selon une étude menée dans 99 universités anglo-saxonnes, seulement 14% des philosophes interrogés ont la foi. Et la situation est encore plus nette pour les scientifiques. Les membres de l’Académie nationale des sciences des Etats-Unis sont seulement 7% à avoir une croyance religieuse! Surprenant dans un pays où il existe encore sept Etats où vous ne pouvez occuper une fonction officielle si vous n’êtes pas croyant!
Il y a trois siècles, la croyance en Dieu était universelle y compris parmi les savants et les instruits. Tout cela a changé à la suite du développement de la science moderne et de la capacité de l’homme à dominer et comprendre la nature par l’usage de la raison. Les croyances et autres révélations et doctrines religieuses sont aujourd’hui considérées par une majorité de grands intellectuels comme des légendes pour enfants et des créations humaines afin de conforter des pouvoirs eux-aussi très humains.
Pour autant, si les fondements historiques et scientifiques des religions sont mis à mal, les croyances sont loin d’avoir disparu, au contraire. Pourquoi, s’interroge Salon Magazine?
La génétique et les comportements humains jouent un rôle considérable. L’attirance universelle qu’exercent les croyances religieuses a une origine biologique que confirme la science. Il y a un consensus scientifique pour considérer que la façon dont notre cerveau réagit est notamment le fruit de la sélection naturelle. Quel rôle dans la survie et la reproduction ont donc joué les pratiques et les croyances religieuses?
Il y a deux types d’explications. La première est que la religion donne un avantage en terme d’évolution. Elle a pu contribuer à augmenter la cohésion sociale des groupes humains et donc à améliorer leurs chances de survie.

 
La seconde explication, c’est que les croyances et les pratiques religieuses sont la conséquence d’autres capacités d’adaptation issues de la sélection naturelle. Par exemple, l’intelligence contribue à la survie. Et la façon dont l’intelligence humaine fonctionne consiste à lier les causes et les effets et à postuler l’existence d’autres esprits derrière ces causes et ces effets. L’idée de dieux expliquant les phénomènes naturels pourrait être née ainsi.
Et puis il y a des facteurs psychologiques. Le monde qui nous entoure prouve en permanence les progrès permis par la science et la raison, mais cela n’empêche pas les gens de préfère les pseudo sciences et la superstition. La réponse simple est que les gens croient ce qu’ils veulent croire, ce qu’ils jugent réconfortants, pas ce que les preuves réelles démontrent. En régle générale, les gens ne veulent pas savoir, ils veulent croire.
Les facteurs sociaux enfin, jouent aussi un rôle important dans les croyances religieuses. Les religions sont évidemment un facteur de pouvoir et également une façon de gérer une partie des dysfonctionnements de la société. De la rendre supportables et même de les justifier, mais pas forcément de les corriger.
Même si aucun lien de causalité n’a été établi, dans la liste des Nations-Unis des 20 pays au monde où la qualité de la vie est la meilleure, ce sont généralement des nations où le poids de la religion est le plus faible. Et la grande majorité des pays en bas de ce classement sont considérés comme très religieux. Il y a ainsi de sérieuses raisons de douter du fait que la religion améliore la vie.
Pour Salon Magazine, «les hommes doivent sortir de l’enfance. Ils doivent faire face à la vie avec toutes ces beautés et son côté sombre, la luxure et l’amour, la guerre et la paix. Ils doivent rendre le monde meilleur. Et personne ne le fera à leur place».

Et pour moi ,accepter qu'il existe ne me coute rien du tout. Au contraire ça me garanti la vie après la mort!
Nier son existence eh bien ce n’est pas trop mal…Car on a plus cette garanti de la vie après la Mort au cas où Il existait Un Dieu.